Publié dans Société

 « Ode ry Gasikarako » - Quand la musique rime avec protection de l’environnement 

Publié le mercredi, 07 juin 2023

Une action commune, un bien commun pour un Madagascar plus propre et durable. Malagasy Brand Communication (MBC) œuvre pour le développement durable. Dans le cadre de la célébration de la Journée mondiale de l’environnement, la première édition de l’événement « Ode ry Gasikarako » s’est tenue au jardin d’Antaninarenina, hier. L'objectif étant de mener des actions  dans le cadre de cette journée mais aussi de  renforcer les actions déjà entreprises. « Ode ry Gasikarako » est un événement écologique et culturel promouvant les initiatives locales et les actions culturelles, en écho aux catastrophes auxquelles Madagascar  fait face.

Outre l’exposition, slam, poésie, musique et chansons sont parmi les armes du MBC pour sensibiliser les citoyens notamment les enfants et les jeunes puisqu’ils sont l’avenir du pays. Dès maintenant, ils peuvent mener une action pour lutter contre la destruction de l’environnement. Ainsi, les élèves de collège et ceux du primaire ont bénéficié d’un atelier de recyclage des plastiques. Des entreprises qui œuvrent dans le recyclage des déchets ainsi que l’utilisation de la politique « zéro déchet » ont participé à cet événement, outre les artistes promouvant la protection de l’environnement. « L'adoption des gestes éco-responsables est un grand défi pour le Malagasy Brand Communication », dixit le coordonnatrice de ce projet, Raolison Anjaramalala.

Dans le monde, 27 millions de tonnes de déchets plastiques sont déversées dans les océans. 3 millions de tonnes de déchets plastiques sont répandues à travers l'océan Indien. L’utilisation des plastiques constituent de véritables menaces pour l’humanité. Des produits halieutiques en consomment, engendrant des conséquences néfastes pour la santé humaine. Depuis 50 ans, la Journée mondiale de l’environnement est célébrée tous les 5 juin. Le thème de cette année est la lutte contre la pollution plastique.

 

Anatra R.

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Editorial

  • Trop, c’est trop !
    Invivable ! Innommable ! Insupportable ! C’est pratiquement impossible de vivre comme il faut et de circuler comme il se doit dans le pays, sur les routes nationales tout comme dans le milieu urbain cas de celui de la Capitale. Trop, c’est trop ! Un étranger de passage récemment au pays, que nous tairons l’identité, la ville et le pays d’origine, n’a pu ne pas laisser échapper son étonnement plutôt son indignation de voir le bordel, le laxisme et l’anarchie partout où il passe. Dans la Capitale, c’est inimaginable de devoir constater l’anarchie. Vous allez nous rétorquer, peut-être, que c’est n’est pas un fait nouveau. Et nous risquons d’être taxés d’ « alarmistes » ! Oui, mais, au nom de la vérité et en vertu des intérêts hautement supérieurs des concitoyens devant subir quotidiennement cette galère voire ce calvaire à chaque jour que le Bon Dieu fait, on ne peut …

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